En tant que marque éco-responsable, pour faire de son engagement un véritable avantage concurrentiel, il faut absolument communiquer sur ses avantages écologiques.
Pour éviter de perdre en crédibilité en tombant dans le piège du greenwashing, voici 4 tips tirés du guide anti-greenwashing de l’ADEME (🔗 en bas de l’article) :
1️⃣ Des affirmations précises
Les termes comme « éco-responsable » ou « bon pour la planète » sont trop génériques. Ils doivent être accompagnés d’infos plus concrètes.
Exemple : « 95% d’ingrédients issus de l’agriculture biologique ».
2️⃣ Des promesses proportionnées
Les mots ont un poids. Prétendre qu’un produit est « 100% écologique » ou bien « entièrement composé d’ingrédients strictement clean » est souvent exagéré.
Préférer : « plus écologique » ou « plus clean que les produits traditionnels ».
3️⃣ Des preuves publiques
Lorsqu’un chiffre ou qu’une étude sont cités, par exemple « 20% de CO2 en moins », la source doit être facilement accessible. Faire preuve de transparence, c’est montrer qu’on n’a rien à cacher.
4️⃣ Des labels adaptés
Un label est une preuve efficace lorsqu’il est indépendant et reconnu. On ne peut par contre pas leur faire dire ce que l’on veut.
Exemples : le label GOTS ne dit rien sur la qualité du produit et le label OEKO-TEX Standard 100 n’informe pas sur les conditions de travail.
En suivant ces principes, la marque gagne la confiance de ses prospects, et transforme ses clients en ambassadeurs convaincus.
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